Le NMM, Non Metalic Metal ou Métal Non-Métallique, est une technique très impressionnante qui peut faire peur de prime abord. Pourtant, il suffit de se lancer pour se rendre compte que c’est bien moins compliqué qu’on ne pourrait croire !
Je vous confie un truc : j’ai toujours eu peur du NMM, j’avais peur de me lancer, peur de rater, peur de ne pas y arriver.
Et c’est pas grave d’avoir peur !
C’est pas grave de rater !
Du coup, j’ai fini par essayer, et dès le premier coup, le rendu était pas trop dégueu ! Alors j’ai continué. J’en ai raté, j’en ai réussi, j’ai appris pas mal de choses. A un tel point qu’aujourd’hui je prend plus de plaisir à peindre du NMM qu’avec des pigments métalliques, sauf s’il s’agit de faire de la grosse corrosion et de la rouille qui tâche !
Aujourd’hui, j’aborde le NMM de façon : soit un NMM graphique, voire un peu magique, un truc qui pète la classe, qui claque en terme de nuances et d’ambiance, mais qui est très facile à faire, sans trop réfléchir. Ou alors je me prend bien la tête pour obtenir un rendu beaucoup plus réaliste, avec un point de lumière intense, un dégradé lisse, des reflets …
Si le rendu réaliste est beaucoup plus impactant, il demande toutefois une certaine maîtrise et compréhension de la pose des lumières, de la géométrie et des fondus.
C’est pourquoi je conseille de commencer par le NMM graphique : il est plus simple à aborder, rendra bien dans 90% des cas et permet d’être décliné en couleurs pour des effets magiques ou fantastiques saisissants !
Dans ce tutoriel, je vous propose une approche simple et facile du NMM, un rendu graphique qui ne sera pas toujours très réaliste, mais une fois que vous maîtriserez la technique, il sera facile de passer à une pose des lumière plus complexe et réfléchie
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